What could be more romantic than being a photojournalist ? That is the question I ask myself when the bourgeois character of Romain Duris in the movie L'homme qui voulait vivre sa vie ("The man who wanted to live his life", by french director Eric Lartigau) takes on the identity of his wife's lover, that he accidentally just killed, and runs off to live his passion, photography.
The film is based on a novel by Douglas Kennedy, author of bestsellers in the romantic thriller genre, and the actors are some of the best France has to offer (Roman Duris, Marina Foïs, Catherine Deneuve, Niels Arestrup…)
To make it all even better, the artist's photos in the film have been taken by no less than Antoine d'Agata, and they are magnificent.
I wish, though, that the atmosphere had a little more in common with a 70's movie with a similar plot : The passenger by master director Michelangelo Antonioni. Another story of a man with a fake id running away, but with a somewhat more metaphysical approach and much less of a happy end.
Qu'est-ce que pourrait être plus romantique que d'être photojournaliste ? C'est la question que je me pose quand le personnage très bourgeois de Romain Duris dans le film L'homme qui voulait vivre sa vie (mise en scène par Eric Lartigau) vol l'identité de l'amant de sa femme, qu'il vient de tuer accidentellement, et s'enfuie pour vivra sa passion, la photographie.
Le film est basé sur un livre de Douglas Kennedy, auteur des best-sellers dans le genre thriller romantique, et les acteurs sont le gotha du cinéma français (Roman Duris, Marina Foïs, Catherine Deneuve, Niels Arestrup…)
Pour rendre tout cela encore mieux, les photos d'artiste du film ont été prises par Antoine d'Agata, et elles sont superbes.
Je souhaite, néanmoins, que l'atmosphère ici serait plus dans la ligné d'un film des années 70 avec un intrigue un peu similaire : Profession: reporter par le cinéaste légendaire Michelangelo Antonioni. Encore l'histoire d'un homme avec une fausse identité qui s'enfuie, mais avec une approche plus métaphysique et une fin moins arrangeante.
Vad skulle kunna vara mer romantiskt än att vara fotoreporter? Den frågan ställer jag mig, när Romain Duris borgarbrackiga rollfigur i filmen L'homme qui voulait vivre sa vie ("Mannen som ville leva sitt liv", av franske regissören Eric Lartigau) stjäl identiteten från sin frus älskare, som han just dräpt, och flyr sin väg för att utöva sin stora passion, foto.
Filmen baserar sig på en roman av Douglas Kennedy, bestsellerförfattare i den romantiska thrillergenren, och skådespelararna är bland de bästa Frankrike har att uppbringa (Roman Duris, Marina Foïs, Catherine Deneuve, Niels Arestrup…)
För att göra det hela ännu bättre, har konstfotona i filmen tagits av ingen mindre än Antoine d'Agata, och de är fantastiska.
Jag skulle dock önska, att stämningen här låg närmare en film från 70-talet med liknande intrig: Yrke : reporter av den store regissören Michelangelo Antonioni. Ännu en historia om en man på flykt med falsk identitet, men med ett mer metafysiskt budskap och ett inte så lyckligt slut.
je l'ai vu aussi et j'ai bien aimé!
RépondreSupprimerC'est assez consensuelle, l'histoire d'un homme qui quitte tout pour enfin tout quitter, qui prend la place de quelqu'un qu'il n'a pas envie de remplacer. Fin, comme si la fugue avait quelque chose de facile.
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